Plumet VI
Plumet vert-rouge des unités légères de la Garde Impériale et autres. En deux tailles.
Sabre de "sabrage" de l'armée française, utilisé par l'infanterie et l'artillerie.
C'est le sabre par excellence des troupes françaises dans les campagnes napoléoniennes. C'est un sabre court et facile à utiliser. Bien que l'armée française l'ait déjà pendant la guerre de la Convention, c'est Napoléon qui en étend l'utilisation aux régiments d'infanterie de ligne et de grenadiers. En bon artilleur, Napoléon a également donné son sabre préféré aux régiments d'artillerie.
En français, briquet signifie silex, un surnom sarcastique.
Selon certains, c'est l'empereur qui a inventé en 1812 la tradition du «sabrage», une technique pour ouvrir une bouteille de champagne avec un sabre coupé pour célébrer sa victoire au combat.
Le sabre est doté d'une lame en acier forgé à haute teneur en carbone, sans pointe ni arête. La poignée est recouverte de laiton et présente la partie avant incurvée typique de la briquet. Livré avec gaine de régulation, qui comprend des détails en laiton.
Selon l'historien Rafael Gonzalez, s'il était surtout utilisé à des fins pratiques et utilitaires, il restait une arme efficace sur le champ de bataille. Leurs coups avec la pointe étaient très dangereux et les attaques avec la lame pouvaient causer de graves blessures. L'affûtage de sa lame, très tranchante, se faisait au moyen d'une lime ou à l'aide d'une pierre à aiguiser. L'eau, la neige ou le sang pouvaient cependant attaquer l'acier.
Détails:
En image un musée original des sites de Saragosse:
Fiche technique
Plumet vert-rouge des unités légères de la Garde Impériale et autres. En deux tailles.
Boîte portée en bandoulière par les soldats dans laquelle ces derniers conservaient généralement leurs cartouches
Bande de cuir croisée réglementaire française pour porter le sabre briquet et la baïonnette.